Jardin du Luxembourg
« Jardin du Luxembourg » en français est un parc public situé dans le 6ème arrondissement de Paris. Ce parc est également connu sous le nom de « parc du Luxembourg » et a été créé en 1612 à l’initiative de Marie de Médicis. Le jardin est célèbre pour ses magnifiques fontaines, ses allées bordées d’arbres, ses statues et ses pelouses. Les visiteurs peuvent se promener, pique-niquer et admirer la beauté du parc. Le jardin du Luxembourg est un lieu de détente très apprécié des parisiens et des touristes, et accueille également de nombreuses manifestations culturelles tout au long de l’année.


La faune et la flore
Laissez-vous gagner par l’envie de flâner sous le couvert ombragé d’essences classiques (marronniers, platanes, tilleuls…) ou plus exotiques (paulownias, savonniers, ginkgos…). Arpentez les allées bordées au printemps de primevères, de pensées, de myosotis, de giroflées…Huit mois consécutifs qui ne se lassent pas de fleurir et de refleurir, mêlant selon les saisons géraniums, pétunias, calcéolaires, ageratum, dahlias ou sauges. Vous croiserez au détour d’une allée un Dalou, un Bourdelle, un Rodin ou un Zadkine parmi la centaine de sculptures que compte le jardin du Luxembourg.

Espace végétal
Dans cet éden végétal, tous les désirs, ou presque peuvent être satisfaits. Que vous soyez amateurs de tennis (six courts), de jeux de boules (deux terrains), de jeux d'échecs (des parties se jouent sous un abri, entre la rue Guynemer et la rue de Vaugirard) ou d'apiculture, vous serez comblés. La société centrale d'Apiculture dispense en effet des cours dans le rucher-école, reconstruit en 1991, dont la tradition remonte à 1856. Chaque année, la récolte est vendue à l'Orangerie du jardin du Luxembourg (1839), au moment de la traditionnelle exposition d'automne. Les cours du jardin du Luxembourg vous donne par ailleurs la possibilité d'étudier les variétés d'arbres et d'arbustes fruitiers (un millier dont plus de six cent variétés de pommes et de poires) disséminés dans le verger, une tradition qui remonte, elle, à 1809.

Activités
.Dans cet éden végétal, tous les désirs, ou presque peuvent être satisfaits. Que vous soyez amateurs de tennis (six courts), de jeux de boules (deux terrains), de jeux d'échecs (des parties se jouent sous un abri, entre la rue Guynemer et la rue de Vaugirard) ou d'apiculture, vous serez comblés. La société centrale d'Apiculture dispense en effet des cours dans le rucher-école, reconstruit en 1991, dont la tradition remonte à 1856. Chaque année, la récolte est vendue à l'Orangerie du jardin du Luxembourg (1839), au moment de la traditionnelle exposition d'automne. Les cours du jardin du Luxembourg vous donne par ailleurs la possibilité d'étudier les variétés d'arbres et d'arbustes fruitiers (un millier dont plus de six cent variétés de pommes et de poires) disséminés dans le verger, une tradition qui remonte, elle, à 1809.
Quant aux enfants, inutile de dire que c’est pour eux un véritable paradis ! Vous pourrez, parmi les nombreuses activités proposées par le jardin du Luxembourg, les laisser sans crainte dans un immense parc à jeux clos, entièrement rénové en 1992. Des visites guidées sont organisées le premier mercredi de chaque mois, d’avril à octobre inclus. Au mois de juin, ces visites ont lieu tous les mercredis. Rendez-vous place André- Honorat, devant la grille du jardin du Luxembroug. Un peu d’histoire Marie de Médicis (1573-1642) rêvait de quitter les intrigues de la cour alors installée au Louvre, et c’est en se promenant dans le faubourg campagnard, mondain mais tranquille, qui accueillait à l’époque le couvent des Chartreux de l’ordre de Saint-Bruno, qu’elle eut l’idée de s’y installer. Elle imaginait, nostalgique de ses origines, un palais de style florentin et des jardins inspirés de ceux de Boboli.
17ème siècle

La grotte
Marie de Médicis fit élever vers 1630 une grotte dans le jardin du Luxembourg, dont seule une partie appelée la fontaine Médicis subsiste. Sa façade comportant trois niches séparées par des colonnes, était couronnée d'un fronton aux armes de France et des Médicis, encadré par des figures fluviales par Biard. Elle se prolongeait par un mur orné d'arcades. Restaurée par l'architecte Jean-François Chalgrin (1739-1811) et agrémentée de sculptures supplémentaires, elle fut pourtant en partie détruite par le percement de la rue de Médicis, en 1862. Déplacée, il ne reste aujourd'hui qu'une niche, dont l'élégance des statues d'origine a été rehaussée par d'autres aménagements, en particulier un bassin par Alphonse de Gisors, qui constitue aujourd'hui un des lieux de promenade les plus agréables du jardin du Luxembourg.
Le jardin du palais du Luxembourg était alors ombragé par des ormes, des marronniers, des charmes et des tilleuls. Le bassin rond d’origine, créé par le concepteur du jardin du Luxembourg, Boyceau de la Bareauderie, fut remplacé vers 1635 par un bassin octogonal. C’était une idée de Le Nôtre, alors 1er jardinier de Monsieur, qui résidait dans le palais. Mais il n’apporta pas de modifications majeures au tracé du jardin du Luxembourg. Tous ces efforts furent réduits en poussière pendant les grands travaux d’Haussmann, qui mit fin à l’éphémère splendeur du domaine. Il éventra le jardin du Luxembourg en élargissant la rue de Vaugirard et en ouvrant le boulevard Saint-Michel. Lorsqu’il annonça la future disparition de la pépinière et du jardin botanique, on assista cette fois à une véritable levée de boucliers. Mais Napoléon III resta insensible à la clameur populaire et ils disparurent sous les coups de pioches. Il ne restait plus rien du jardin botanique « joli comme un doux sourire de vieille, (aux) petits arbres rangés comme des collégiens en promenade, (où l’on rencontrait) des sociétés de rosiers magnifiques ou des régiments d’arbres à fruits » (Guy de Maupassant – Contes et Nouvelles – Menuet).

La révolution
Le jardin du Luxembourg, qui commença timidement à ouvrir ses portes au public à partir du milieu du 17e siècle fut parfois fermé, selon les caprices de l'occupant des lieux. Les événements historiques décidèrent aussi de son usage, le palais ayant par exemple servi de prison pendant la Révolution à Camille Desmoulin, Fabre d'Eglantine, Danton ou encore au grand peintre Jacques-Louis David, un fervent admirateur de Robespierre. Le jardin du Luxembourg était alors fréquenté par les seules familles éplorées tentant d'apercevoir leurs proches. Pendant le siège de Paris, en 1870, les dépendances du palais accueillirent les blessés de l'armée du Rhin, tandis que les Fédérés occupèrent les lieux pendant la Commune. Et c'est l'état-major de la Luftwaffe qui prit la relève, bien plus tard, époque à laquelle nombre de statues furent fondues et où des blockhaus furent creusés dans le jardin du Luxembourg ! Mais les chars triomphants des libérateurs traversèrent le jardin du Luxembourg entre le 19 et le 25 août 1944, pour effacer les traces de cette sinistre occupation.
Visite virtuelle du Jardin et du Palais du Luxembourg

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